Catherine Fritsch

Bonjour, je vous présente mes sincères condoléances. J ai bien connu Cath dans les années 80, car nous avons travaillé ensemble au journal Le Parisien à Saint Germain-en-Laye. J ai gardé un joli et attachant souvenir de Cath ; j’aimais sa personnalité et son esprit d’indépendance, sa liberté de penser et d’oser dire ! Une jeune femme attachante qui m’a fait l’honneur de ses sourires, de ses encouragements, de ses doutes. Cette amitié est lointaine mais elle est toujours restée gravée dans un coin de mon cœur. Je vous envoie mes affectueuses pensées. Patricia